Reviens-moi au temps des écritures
Quand les soleils traversaient nos mains
Au froid décembre des Alpes italiques
Tes emblèmes sur les miens
Etaient lumière et fulgurance
Internement précoce et gestation luxueuse
Mais après la cellule fécondée des convergences
Le puits des abreuvements idylliques
Nos chemins d’encre sombrèrent
Dans un parallélisme navrant
Sombres désuétudes des éclipses
Tu décidas de ne plus abreuver ta parole
De la laisser crever et se décomposer sur mon chemin